mercredi 11 avril 2012

Rétromania, je t'aime.

Désolé pour la pause de presque un mois. J'ai le nez dans les livres, les oreilles dans la musique et l'esprit est au lycée. J'écris un petit article, que je développerais en détail ultérieurement. Dans un article précédent, je me rappelle avoir parlé des vinyles, mais j'avais juste frôlé le sujet. Et c'est maintenant que je me rend compte du pouvoir de ce disque noir, la vague rétro commence à s'échouer sur notre pays. D'ailleurs le livre "Rétromania" de Simon Reynolds relate un peu tout cela, dans son livre le rock-critic britannique s'interroge: à force de régurgiter son passé, la culture contemporaine va-t-elle droit dans le mur? (cf. Rock & Folk).




D'un côté, la culture dite rétro peut être un mal, car chaque génération doit apporter quelque chose à la génération qui suit. Avec la rétromania, les jeunes génération ne s'inspirent pas, elles piochent dans les générations de leur aînées. Que ce soit dans la génération des grands-parents avec les Beatles et les Stones, dans celle des parents avec les Guns n' Roses et Scorpions ou bien dans celle des grands frères et grandes soeurs avec Metallica, Sum 41 et Nirvana. Et si la nouvelle génération se met à piocher dans les anciennes, il n'y aura rien de nouveau. On en reviendra sans cesse aux grands classiques, comme un disque qui tourne sur sa platine.




Ma conclusion n'est pas pessimiste, pour moi il y a des nouveautés, des bonnes comme des mauvaises. Mais beaucoup de personnes se réfère (trop?) aux anciennes choses. C'est assez compliqué de parler du courant rétro quand on est soit-même adepte de se mouvement.. To Be Continued.



Article écrit en écoutant le Black Album de Metallica.

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